Short film, 13 silly questions

Thanks to everyone who put in their two cents o’crazy! You guys are bonkers, and I love ya! I’ll get started on that script and we’ll shoot the fucker soon. All questions below. More later!

 

  1. Youri Couture: Est-il vrai que tu réponds aux questions?
  2. Commune Des Flocons: Quand les chats grattent dans la porte pour avoir de la nourriture pendant que je lis sur facebook la dernière connerie masculiniste de radio X, est-ce que ça veut dire que Pauline Marois s’est faite mordre par un rat?
  3. Djowany Dè-Land: Est-ce que avec google on peut trouver ce qu’il y a après la mort?
  4. Geneviève Lalonde: Mais ou et donc car ni or?
  5. Sylvie Ouellette Préfèrerais-tu une autre question?
  6. Frédéric Béland: Do you have any trick to avoid getting emotionally attached to your onions before killing them?
  7. Ernesto Sté: si c’était à recommencer est-ce que vous feriez la même chose ?
  8. Frédéric Boivin: Si vous feriez la même chose, est-ce que vous recommenceriez?
  9. Marhi Aive: Comment te définierais-tu par rapport à un hipster ?
  10. Alexandra Roy: Pourquoi c’est toi le meilleur ?
  11. Alexandre Piette: Si ça prend deux étoiles pour faire une lune et deux lunes pour faire une Terre, combien ça prend de soleil pour faire une Terre?
  12. Ian Truman : Now that you are known as a mid-list writer, and OBVIOUSLY make more than enough money to sustain your heavy substance abuse, could you finance my next project, “My life as a Shrimp, an experience in post-modern-deconstructivism?”
  13. Alain Lafond: Quelle est la question à cette réponse?
  14. Pierre-Philippe Lefebvre: Pourquoi les pro-vie sont toujours complètement moches? Il me semble que le problème ne s’applique pas à eux…
  15. Patrick Boucher: Incessant passage à la limite bataillien, Le jardin des rêves opérait une véritable mutation des valences dans la sphère de l’érotisable et poursuivait en cela les micro-transgressions nervaliennes des manifestations de l’inéluctable désir hérétique, amorcées dans votre troublant, mais inoubliable Valacchia. En considérant cette trajectoire thématico-organisationnelle qui ouvre la voie sur de nouvelles configurations des objets voluptueux anormaux, pouvons-nous espérer que Le Cirque diabolique sédimente cette géographie des aspirations sexuelles liminales ou bien doit-on s’attendre à une dissolution anéantissante de la constellation diégétique – si savamment mise en place, grâce aux fines liaisons réseautiques des motifs transitionnels – qui nous a permis de croire à une subversion, à la fois subtile et radicale, des formes romanesques contemporaines encore empêtrées dans une fatigante et fatiguée critique autoreprésentative ?